Le départ soudain d’un être cher peut être fatal pour la famille que ce soit sur le plan émotionnel ou financier, notamment si c’est le père de famille qui s’est éteint. C’est pourquoi actuellement, bon nombre de gens préfèrent souscrire une assurance. Mais laquelle est la plus rentable et quelles sont les précautions à prendre ?
L’assurance décès-invalidité c’est quoi au juste ?
C’est une assurance donnée à un individu, où l’entreprise versera une rente ou un capital en cas de décès de ce dernier. La procédure est simple : il contracte avec une société de son choix, et paie des cotisations selon les conventions (mensuel, trimestriel ou annuel). Le ou les bénéficiaires sont d’ailleurs prédéfinis dans le contrat.
L’âge maximum pour pouvoir y souscrire est de 65 ans. Toutefois, il existe certaines exceptions ! Et la validité du contrat est de un an renouvelable. L’avantage est que l’assuré peut rompre le contrat en temps voulu. Sinon, le contrat sera nul dès que le client aura atteint l’âge limite. Néanmoins, pour demander un prêt, la plupart des établissements financiers exigent ce type d’assurance. Comment préparer des obsèques ? Quelles pratiques sont autorisées ? Qui règlera la note? La mort est inéluctable et pour bien s'y préparer, mieux vaut être bien armé avant le jour J. http://www.officiel-des-obseques.com/ vous répond sans tabou.
Quel montant souscrire ?
En effet, la somme à verser dépend de la somme souhaitée par le souscripteur ainsi que de la cotisation. Attention ! Ayez en tête que chaque année, la prime va s’accroitre, et un trentenaire va payer moins qu’un quinquagénaire ! Et les fumeurs ont un plus grand risque de mourir prématurément, donc ils seront pénalisés et doivent débourser plus.
Par ailleurs, le capital donné aux proches sera exonéré de tous les taxes et impôts. Seul le montant de la prime qu’il a payé la dernière année sera frappé d’une TVA de 20%. Le seul hic est que si le décès ne survient pas jusqu’à la fin du contrat, l’assuré ne récupèrera pas un sou de ce qu’il a cotisé durant toutes ces années. De quoi freiner les gens à souscrire à ce type d’assurance !
En outre, il n’y a pas que le décès qui est prise en compte par l’assureur. En optant pour une assurance décès, le cas d’une perte totale et irréversible d’autonomie en bénéficie également. En effet, ce cas doit figurer dans la 3e catégorie de la Sécurité sociale. Dans ce cas, cette dernière doit être inapte et a besoin d’une assistance.
Enfin, le capital doit être versé au plus tard dans les 30 jours suivant la tragédie. Cependant, prenez aussi garde, car certains assureurs n’acceptent que les morts accidentels, excluant ainsi des maladies graves comme l’AVC. Ainsi, choisissez une garantie qui prend en compte tout type de décès (sauf en cas de suicide par exemple)
Que faire pour y souscrire ?
Le souscripteur ne doit pas dépasser l’âge cité précédemment. Entre 50 à 55 ans, les assureurs demandent une déclaration pour finaliser le contrat. Mais pour une plus grosse somme, ils peuvent être amenés à exiger des examens médicaux.
Et si une maladie grave survient après la signature, l’assureur ne pourra en aucun cas annuler le contrat.